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Stéphanie Pellerin, botaniste et chercheuse

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Stéphanie Pellerin
Photo : IRBV / Amélie Philibert
Stéphanie Pellerin
  • Stéphanie Pellerin
  • Suivi démographique d'une plante rare par Stéphanie Pellerin.
  • Marécage aux abords de la rivière des mille îles.
  • Parcelle d'inventaire au Parc de Saraguay.

Dans ses recherches, Stéphanie Pellerin tente de comprendre comment différentes perturbations actuelles et passées, d’origine humaine ou naturelle, influencent les communautés végétales. Spécialisée dans l’écologie des milieux humides et l’écologie urbaine, elle étudie les communautés végétales présentes en ville et dans les tourbières.

  • Botaniste, Jardin botanique de Montréal
  • Professeure associée, Département de sciences biologiques, Université de Montréal
  • [email protected]

Domaines des recherche et d'expertise

  • Écologie des milieux humides
  • Dynamique des écosystèmes
  • Écologie historique et paléoécologie
  • Conservation des plantes rares
  • Relations plantes-herbivores
  • Écologie urbaine

Formation

Doctorat en aménagement, 2003
Université Laval

Baccalauréat en géographie, 1997
Université de Montréal

Gérer des écosystèmes pour préserver la biodiversité végétale

Le but des travaux de Stéphanie Pellerin est de concevoir des plans de gestion adaptés aux milieux humides et urbains.

Comment la transformation par l’humain d’un paysage donné a-t-elle influencé la végétation des écosystèmes toujours présents? De quelle manière, positive ou négative, l’intensité de l’urbanisation influe-t-elle sur la biodiversité? C’est le genre de question que se pose la botaniste.

Pour répondre à ses interrogations, Stéphanie Pellerin réalise des inventaires de fleurs. Elle utilise des images satellites, des cartographies ou encore des analyses paléoécologiques pour interpréter l’évolution des paysages. Elle collabore aussi avec des spécialistes de différents domaines, comme des hydrogéologues ou des géographes.

Pour participer à la conservation de la biodiversité végétale, la chercheuse participe notamment à des projets de protection et de restauration de populations de plantes rares du Québec. Par exemple, elle intervient au provincial et au fédéral dans les processus de désignation d’espèces en péril.