Directeur de l’Insectarium de Montréal depuis 2019, Maxim Larrivée est passionné par la répartition des espèces d’insectes dans le temps et l’espace. Il s’intéresse aussi aux outils qui permettent de la documenter. Il combine plusieurs approches novatrices de suivi de la biodiversité, notamment la science participative et l’intelligence artificielle.
- Directeur de l’Insectarium
- Fondateur et codirecteur d’eButterfly, un projet sur le suivi de la biodiversité des papillons de jour
- Fondateur et codirecteur de Mission monarque, un programme international documentant le succès reproducteur du monarque
- Fondateur du projet Sentinelles du Nunavik
- Lire ses articles sur notre blogue
Domaines de recherche et d'expertise
- Étude des impacts des perturbations naturelles et anthropogéniques sur la biodiversité de plusieurs groupes d'arthropodes
- Science participative et gestion de l’information sur la biodiversité
- Développement d’outils de suivi et d’identification des insectes avec l’aide de l’intelligence artificielle
- Biophilie
Formation
Post-doctorat en macroécologie
Université d’Ottawa
Doctorat en entomologie
Université McGill
Maîtrise en écologie des paysages
Université Carleton
Mettre en place des réseaux pour enrichir les connaissances
Au printemps 2022, Maxim Larrivée a mené à bien l’ouverture du nouvel Insectarium. Avec ses collègues de la direction d'Espace pour la vie, il collabore à l'élaboration de stratégies visant à reconnecter l’humain à la nature et à l’inciter à la conserver.
L’entomologiste poursuit également le développement des programmes de science participative.
Maxim Larrivée a fondé et codirige eButterfly, un programme de science participative qui permet de documenter la répartition et la diversité des papillons à l’échelle mondiale ainsi que Mission monarque, qui se concentre sur l’identification des zones de reproduction du papillon monarque au Canada.
Il a également mis en place un réseau de suivi des insectes dans le Grand Nord québécois en collaboration avec le gouvernement régional du Nunavik, le projet Sentinelles du Nunavik. Des jeunes des communautés inuites et cries y sont formés et embauchés pour faire le suivi des insectes pollinisateurs autour de leurs communautés.